les interdits pendant les menstrues islam
Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. S'il est connu de tous que les rapports sexuels avec pénétration sont strictement interdits pendant les menstrues, continuer à vivre saRead Mor ; Cependant, il n y a pas de preuve pour interdire à la femme en période de sa menstruation de lire le Coran. Aussi, avions-nous déjà observé à propos du jeûne que le Coran ne mentionnait pas le cas des règles et que rien n’interdisait de jeûner en cette situation. venez à elles comme Dieu vous l’a ordonné. Il est à signaler que dans le judaïsme une femme ayant ses règles peut et doit prier et jeûner, pareillement pour le christianisme. Il lui est un devoir de le rattraper. Ceci vise donc des comportements humains que le Coran au sujet du khamr/vin met effectivement en lien avec l’« œuvre du Shaytân », S5.V90. - La femme dès qu'elle voit du sang évite ce qu'évite la femme qui a les menstrues, qu'il s'agisse du jeûne, de la prière, du rapport sexuel et d'autre chose que cela. La louange est à Dieu le Seigneur des mondes Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, rien n'est tel que Lui et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent. », S5.V90. Le minimum de la période inter menstruelle est de quinze jours avec leurs nuits, c'est-à-dire que le minimum de la période entre deux périodes menstruelles, entre des menstrues et les menstrues suivantes, ce minimum est de quinze jours. Pendant les menstrues, il lui est donc interdit de faire le wouḍoÅ«'. Interdits Dès que l’on remarque les premières traces de sang, on entre dans sa période de menstrues et on se trouve donc en état d’impureté rituel. Or, quelles que soient les significations du terme-clef adhâ : mal, dommage, tort, d’où notre « indisposition », aucune n’évoque la notion d’impureté. 1.De prier 2.De prendre le Muss-haf Et tous les autres points que l'on avait cité. 6/ Il est interdit d'avoir des rapports sexuel avec sa femme en état de menstruation en vertu de la parole d'Allah, le Puissant, le Majestieux : « Et ils t’interrogent sur la menstruation des femmes. En revanche, si le mari la divorce, le divorce est effectif. La faiblesse de l’argument indique en soi que le sens attribué à junub ne repose que sur un arbitraire orienté. Bien évidemment, le Coran ne peut reprendre et défendre ces affirmations et aucun verset ne stipule qu’il faille être en état de pureté rituelle pour lire ou toucher le Coran et, conséquemment, aucun état d’impureté qui l’interdirait. Je voudrais savoir ce que je ne peux pas faire durant cette période (comme lire le coran je crois) ainsi que des explications sur les grandes ablutions et De plus, du point de vue de l’analyse sémantique, nous avons montré en un précédent article[6] que le qualificatif « rijs/infamie » ne s’applique pas à ces tabous  alimentaires eux-mêmes, mais au fait de les transgresser et que, de même, ce n’était pas les bêtes immolées aux divinités qui étaient une  « abomination/fisq », mais le fait d’en consommer. 16 - Les règles relatives aux menstrues et aux lochies Publié par convertistoislam - l'islam pour tous sur 30 Juin 2020, 12:46pm La purification qu'elle fait avant l'interruption du sang est interdite mais après l'arrêt de l'écoulement elle lui est licite. [18] L’impureté fonctionne donc comme un renforcement à contrario du sacré, et c’est bien là l’origine de l’interdiction faite aux femmes ayant leurs règles d’accomplir les circumambulations autour de la Kaaba, lieu le plus sacré en Islam. Le cas de l’impureté de la femme ayant ses menstruations est particulièrement important dans le judaïsme ancien et, alors que le christianisme se libérera en apparence de cette conception,[2] l’Islam la reprendra à son compte. 1– Concernant les impuretés matérielles, l’Islam se réfère au verset suivant dont nous rappelons la traduction littérale : « Dis : Je ne trouve en ce qui m’a été révélé rien d’autre qui ne soit tabouisé/muḥarraman, quant à ce que tout mangeur mange, si ce n’est la bête trouvée morte, le sang répandu, la viande de porc – car, certes, c’est une infamie/rijs [d’en consommer]  – De même est une abomination/fisq [de consommer ce qui est] sacrifié à un autre que Dieu. En effet, ce dernier va commenter lui-même le sens de la forme V iṭṭahhara en un contexte rigoureusement identique : « Ô croyants ! [21] Ce faisant, elle a dévié l’objectif du Coran  consistant à réfuter les antiques croyances relatives à l’impureté, la pureté et le sacré, au profit des notions coraniques de propreté physique et de pureté spirituelle. S37.V101-112 ; S22.V34-37, L’obligation du Pèlerinage, al Hajj, selon le Coran et en Islam, Le rituel du Pèlerinage selon le Coran et l’Islam, Égalité homme femme selon le Coran et en Islam. En vertu de ce qui précède, nous comprenons que le Coran n’ait jamais indiqué qu’une femme ayant ses règles ne devait pas prier, cf. c- Toucher et lire le Coran lors des menstrues. [3] Extrait d’un célèbre hadîth rapporté par al Bukhârî. Quiconque la touchera sera impur jusqu’au soir. The day as tourists, they visit monuments and museums. [6] 2 – Le haram : les tabous selon le Coran et en Islam. Docteur en médecine, Docteur en Littérature et langue Arabes, Coranologue, Théologien, Spécialiste de l’exégèse du Coran. Les oulémas sont les héritiers des prophètes ? - Dis: "C'est un mal. La tricherie. Il lui est également interdit de traverser une mosquée lorsqu’elle craint de la salir, de faire une purification des Hadath et un jeûne. En revanche, si elle voit du sang seize jours avant les neuf ans, cela n'est pas considéré comme des menstrues. La plus longue période (accepté comme menstruation) est de 15 jours. [9] Cf. C’est donc d’un point de vue théologique que notre réflexion fait sens : que signifient l’impureté et le fait d’être impur ? Plus fondamentalement, le fait même qu’une femme puisse être à un moment donné de sa vie considérée en état d’impureté laisse malgré tout à penser qu’elle serait alors impure. « Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme ; mais ce qui sort de la bouche, c’est ce qui souille l’homme »,  Matthieu ; XV, 11. قُلْ لَا أَجِدُ فِي مَا أُوحِيَ إِلَيَّ مُحَرَّمًا عَلَى طَاعِمٍ يَطْعَمُهُ إِلَّا أَنْ يَكُونَ مَيْتَةً أَوْ دَمًا مَسْفُوحًا أَوْ لَحْمَ خِنْزِيرٍ فَإِنَّهُ رِجْسٌ أَوْ فِسْقًا أُهِلَّ لِغَيْرِ اللَّهِ بِهِ فَمَنِ اضْطُرَّ غَيْرَ بَاغٍ وَلَا عَادٍ فَإِنَّ رَبَّكَ غَفُورٌ رَحِيمٌ. Le jeûne également est interdit pour la femme qui a les menstrues et pour celle qui a les lochies. Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. [15] Citons la Thora : « Si une femme a couché avec un homme et a eu commerce avec lui, elle se baignera dans l’eau ainsi que lui, et ils seront impurs jusqu’au soir. Pour ce qui est des lochies en revanche, un peu moins. L’approche coranique est donc basée sur une compréhension saine de ce phénomène et non sur l’ensemble des croyances et superstitions que la tradition populaire avait rattachées à ce mécanisme physiologique incompris. Réponds : « C’est une indisposition/adhâ. Certes, Dieu aime ceux qui se repentent et Il aime ceux qui se purifient. [10] Il n’y aurait donc qu’en ce verset, S5.V6, et en S4.V43 qui en est proche et que nous allons aussi examiner, que junub aurait subitement pris une étrange signification juridique. Logiquement junub signifie donc côté, flanc, voisin proche, éloignement, retrait, rien qui étymologiquement n’est en rapport avec le sens que l’exégèse juridique lui a conféré : être en état d’impureté majeure légale ! Les convertis à l'islam n'ont pas de prières à rattraper puisqu'ils n'étaient pas musulmans. De même pour le verbe-clef iṭṭahharû à qui l’Islam a conféré le sens de se purifier alors même que le Coran lui donne comme synonyme ightasilû : lavez-vous ou  nettoyez-vous, S4.V43. Beaucoup de filles qui n’ont pas encore connu leurs périodes (menstrues), ou qui viennent tout juste de l’expérimenter sont soit, mal préparées, soit, mal informées à ce sujet. Et, après un rapport/junuban, nettoyez-vous/iṭṭahharû et, si vous êtes malades ou en voyage ou que l’un de vous revient du lieu d’aisance ou que vous ayez “caressé” femme, mais que vous ne trouviez point d’eau, alors ayez-en l’intention en recourant à un sol propre dont vous toucherez votre visage et vos mains. Dans ce cas-là il lui est interdit de la traverser. They are cousins and pretend engaged. Il n’y a donc pas en ce verset d’arguments scripturaires justifiant le statut d’impureté des catégories d’aliments tabous cités en ce verset comme en d’autres. Selon les savants de jurisprudences islamique, les menstrues ont cinq couleurs: rouge foncé, rouge, achqar (rouge clair brillant), aá¹£far (jaune) et akdar (proche de la couleur de la terre). La pratique du ghusl ou bain rituel, de tout le corps en est une adaptation, de même le baptême par immersion dans le christianisme est inspiré de cette pratique rituelle de purification, institution majeure dans le judaïsme. Information utile: Si la femme a vu le sang pendant une période inférieure à quinze jours et alors qu'il a dépassé sa durée habituelle, toute cette période est comptée comme menstrues. Pourquoi le Coran ne s’adresse-t-il qu’aux hommes ? Les menstrues et les lochies sont des écoulements de sang qui surviennent chez la femme. Comprendre la Parole de Dieu au-delà des paroles des hommes est un long chemin. S’il y a bien une chose partagée par ces trois religions, c’est la misogynie patriarcale. - Islamiates - Islamiates Ces evenements ont ete predits il ya longtemps, dans les livres de Daniel, Ezechiel et Isaiie. Il lui est permis le jeûne : si elle fait l'intention après l'interruption de l'écoulement durant la nuit et qu'elle n'a pas encore fait son ghousl, son jeûne sera valable. Si vous êtes une femme musulmane, il y a fort à parier que vous ayez déjà eu vos menstrues. Les interdits de la femme en état menstruel: 1- Elle ne peut pas accomplir la salat (namaz=prière rituelle). (2/222) Cela concerne les rapports sexuels, non les caresses. Aussi,  puisqu’il ne s’agit pas de se purifier mais de se laver, ceci confirme que le terme junub ne peut pas signifier être en état d’impureté, ou être impur, et que son sens premier est bien ici selon le Coran s’écarter après un rapport. [10] Voir par exemple S3.V191 ; S4.V36 ; S19.V52 ; S39.V17. Ceci provient du fait que les versets candidats retenus pour imposer au Coran le concept d’impureté, S5.V6 et S4.V43, ont pour sujet la prière et les ablutions, d’où la confusion générée et la quasi obligation de décréter l’interdiction de prier, et par extension encore de jeûner, afin de ne pas laisser apparaître la contradiction générée en ces versets en raison de l’interprétation soutenue par l’Islam. Aussi, allons-nous examiner les versets mis en jeu par l’Islam afin d’étayer son propre système juridico-théologique. Si en Islam la question de l’impureté est d’ordre général, il n’est pas moins vrai que du point de vue rituel elle concerne sous bien des aspects les femmes, d’où la spécification en notre titre. Le prophète sallallahou ‘alayhi wa sallam faisait du dhikr après le salam. À titre de confirmation supplémentaire, nous signalerons que S5.V6 fait effectivement référence à la notion de purification : « Dieu ne veut point vous imposer quelque gêne, mais Il veut vous purifier ». Le premier, celui adopté par de grands savants comme Ibn Hazm, Daoud adh-dhahiri, Ibn Taymiya, Ibn Qayoum … L’origine de cette exclusion est encore le judaïsme pour qui nul ne pénètre dans le Temple s’il est en état d’impureté[20] et cette interdiction fut étendue par la suite aux synagogues et,  par imitation, il en fut de même pour les églises dans le christianisme jusqu’à peu et, à leur suite, l’Islam ne manqua pas là l’occasion d’ostraciser et inférioriser les femmes. Beaucoup de filles qui n’ont pas encore connu leurs périodes (menstrues), ou qui viennent tout juste de l’expérimenter sont soit, mal préparées, soit, mal informées à ce sujet. Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. Les menstrues et les couches S'amuser avec sa femme pendant son cycle menstruel 36864 Date de publication : 31-05-2010 Vues : 60037 fr. En cela, il a été manifestement emprunté au judaïsme pour qui les notions de pureté et d’impureté (en hébreu tahara et toumah) réglaient tous les aspects de la vie religieuse. 中文 zh. Lorsque la femme est en période de menstrues ou de lochies, il ne lui est plus permis d’accomplir certains actes. Il sort du vagin de la femme trois sortes de sangs: le sang des menstrues (al-ḥayḍ ), le sang des lochies (an-nifâs) et le sang de maladie (al-istiḥâḍah). La … العربية ar. Il est pourtant régulièrement affirmé que les versets suivants sont un argument en faveur des croyances misogynes partagées par les religions : « Il s’agit, certes, d’une récitation magnanime issue d’un Livre bien gardé, ne le touchent que les Purifiés, c’est une révélation de ton Seigneur. 1– Inspiration et Révélation selon le Coran, 2 – Terminologie de la Révélation selon le Coran, 3 – Théorie de la Révélation selon le Coran, 4 – Terminologie du Révélé selon le Coran ; a – le terme âya/verset, Vidéo : Comprendre le Coran – Initiation à l’Analyse Littérale du Coran, La basmala de la Sourate 9 ; at–tawba : Le Repentir, « Dieu protège le Coran », selon le Coran et en Islam, L’Interprétation et la conservation du Coran, L’interprétation du Coran selon le Coran et en Islam, L’abrogation du Coran selon le Coran et en Islam. Les menstrues sont aussi appelées les règles. Le Coran ne se mêle pas de la sexualité des hommes et des femmes, mais l’Islam, comme toute religion, aime à gérer jusqu’à l’intimité des couples… Les menstrues ne sont donc pour le Coran qu’un phénomène physiologique occasionnant aux femmes une certaine gêne justifiant que l’on ne les “approche” pas durant cette période, mais,  en aucun cas, le Coran confère aux règles une quelconque notion d’impureté.
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