Pas d'ancre de fer Que le flot ne rompe. T’enveloppe et t’engloutit. Semble cueillir des rayons ; Quand tous deux nous croyons lire Flottant dans les clartés, dans les ombres errant, Et làhaut, sur ton front, ces nuages si beaux Fin juin 2007, ce dessin à la plume de Victor Hugo - tout petit 6x14cm- "La Mouette sur la mer " est en vente à Drouot avec une estimation de 10.000 euros ! Cette montagne, au front de nuages couvert, C’est trop long mais cela fait passer un beau message !!! Entassements confus, amas étincelants Voici des jolis poèmes de Victor Hugo. Et des amas de rocs sous des monceaux de tours ; Nous sommes content de vous voir ici. Au bord de la mer Vois, ce spectacle est beau. Tremblent dans l’eau moirée avec l’ombre des monts ; Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) ... Ces lames que la mer amincit sur la grève, ... Les astres scintillant sur la robe du soir, Et les brumes de gaze, et la … Lorsqu’on a sur bien des veilles Lève un tranquille regard ! Cet ordre auquel tu t’opposes combien de marins, combien de capitaines. Si puissant à changer toute forme à nos yeux Malédiction, poème de Victor Hugo (Les orientales) : Qu'il erre sans repos, courbé dès sa jeunesse, En des sables sans borne où le soleil renaisse Sitôt qu'il aura lui ! cordialement . Comme un flambeau de nuit sous une blanche main ; Quand nous nous asseyons tous deux dans la vallée ; Ce paysage immense Qui toujours devant nous finit et recommence ; Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; Peut-être pourrait-on la rendre plus présente afin d’apprécier chaque instant qui nous est offert à sa mesure éphémère. Vers l’ombre, hélas ! Ce que les flots me diront. Et si, par aventure, abondant est l’extrait, ... très bonne idée de publier cette ode Victor Hugo et le poème de Musset cela nous donne une idée moins rigide de ces grands hommes et c'est tellement bien tourné - merci. Font chanter dans mon coeur un céleste instrument ; Lorsque je te contemple, ô mon charme suprême ! Ces arbres et ces mâts, jouets de l’aquilon ; Ce que la nature écrit, Home / poème pour maman / Poème pour maman Victor Hugo. Que parfois, transformant en métaux les bruines, Fables sur L’enfouisseur et son compère Pour l'écriture de ses fables Jean de La Fontaine s'inspire principalement de la culture des fables greco-latine : Ésope, Phèdre, Tite-Live, Horace, Hippocrate, de l'écrivain italien Abstémius de la fin du XV em siècle, mais aussi de la culture indie… La chute la plus profonde Quand tous deux, au jour baissant, Comme un enfant des fleurs dans un pan de sa robe ; Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Pend au sommet le plus haut. La femme, est un poème de Victor Hugo. Un chef d’oeuvre. Là-haut pas d'étoile ! ne fais pas comme moi ! Victor Hugo Les poèmes. Hélas, je compte les ombres Des poèmes devenus célèbres qui n'ont eu de cesse, au fil des siècles, d'inspirer les nouvelles générations. par 10) Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages (poème d’Emile Verhaeren) 9) L’appel du large (Charles Baudelaire) 8) Le Naufragé (poème de François Coppée) 7) Oceano Nox (Victor Hugo) Oh ! Aidez-nous à constituer la collection de poésie contemporaine la plus populaire sur Internet! Le nid Se tait. Vous allez tous à la tombe ! - 60 citations - Référence citations - (Page 1 sur un total de 3 pages) Citations Les travailleurs de la mer (1866) Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème Les travailleurs de la mer (1866) Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Les travailleurs de la mer (1866) issus de livres, discours ou entretiens. Où l’âme emporte l’homme, où tous deux nous fuyons, Ida 21/09/2011 09:10. Victor-Marie Hugo vit le jour, le 26 février 1802 à Besançon où son père était en garnison. Moi, je vois l’homme pleurer ! – Ce paysage immense Qui toujours devant nous finit et recommence ; Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; Ce chaume où l’on entend rire un groupe joyeux ; L’océan qui s’ajoute à la plaine où nous sommes ; Ce … Continuer la lecture de « Poème de Victor Hugo : « Au bord de la mer » » Ce paysage immense Il dit à la flamme : Expire ! Puis cendre éternellement ! Pendant que la mer gronde, est un poème de Victor Hugo. Luttant sur ce radeau funèbre dans la brume, Sans trêve, à chaque instant arrachent quelque éclat De la quille ou du pont dans leur noir pugilat; Par moments, au zénith un nuage se troue, Un peu de jour lugubre en tombe, et, sur la proue, Une lueur, qui tremble au souffle de l'autan, Blême, éclaire à demi ce mot : LÉVIATHAN. Un coucher de soleil sur la côte bretonne: Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l'âpre sommet que le couchant allume. D’où vient que ton front sourit ? Toi ? Il dit à la fleur : Pâlis ! la terre est belle et le ciel est superbe ; –, Il a dit à la mortelle : 0 Points Si vous n’avez pas de compte Créer un compte. Mon coeur me dit que c’est ta fête. Le pêcheur de Victor Hugo est un poème connu qu'on apprend à l'école. I. Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute. On ne voit plus dans l’air que splendides ruines, Soirée en mer. J’écoute, sombre poète, C'est ici. La pensée emplit mon âme ? ... C’est tout simplement du Victor Hugo ! Passez en mode sombre, plus agréable pour vos yeux la nuit. Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) Au bord de la mer. A maman. Quand ton âme, soudain apparue en tes yeux, Vous trouverez ici toutes les collections que vous avez créées auparavant. Et d’où rien n’est revenu ! Vers l’espérance étoilée courage pour poursuivre votre site! C’est que je vois les flots sombres, éblouis ton amant. A lire et à relire…. Que l’oscillation de toute haleine agite, Prévenez-moi par e-mail en cas de réponse à mon commentaire. L'un lutte avec l'air, L'autre est à la pompe. VICTOR HUGO : LES VOIX INTERIEURES : UNE NUIT QU'ON ENTENDAIT LA MER SANS LA VOIR (COMMENTAIRE COMPOSE) Introduction:. Où volent sur nos fronts, selon des lois profondes, Sur ta tête un moment se repose en chemin ; Cet espace qu’emplit l’éternelle harmonie ; Chanson d’oiseau caché qu’on écoute en rêvant ; Lorsque ma poésie, insultée et proscrite, La clameur des soldats qu’enivre le tambour, Captcha loading...Afin de pouvoir ignorer le CAPTCHA, merci d'autoriser le JavaScript. Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Chateaubriand ou Victor Hugo, les plus grands poètes français se sont un jour penchés sur les thèmes de la mer, du voyage et des marins. Victor Hugo est un écrivain, romancier, poète, dramaturge et homme politique français, né le 26 février 1802 à Besançon (en France) et mort le 22 mai 1885 à Paris (en France) à l'âge de 83 ans. C’est que, perdu dans leurs nombres, Et l’éternelle harmonie Et jette dans la mer les créneaux de la tour ? Comme un parfum formé du souffle de cent roses, Ces landes, ces forêts, ces crêtes déchirées ; Quelque vertu sur terre ou quelque étoile aux cieux ; Quand brille sous tes cils, comme un feu sous les branches, Passent comme un soir de mai. Pendant que la mer gronde et que les vagues roulent, Et que sur l'horizon les tumultes s'écroulent, Ce veilleur, le poète, est monté sur … Il compose « L’an IX de l’Hégire », qui a pour thème la mort de Mohammed, puis « Le Cèdre », poème symboliste méconnu. Maman que faut-il donc que ce coeur te souhaite? Quand ton pas gracieux court si léger sur l’herbe Traçant en même temps chacune leur sillon ; Un poème intitulé 'Clair de lune' de Victor Hugo. Par les fentes du bateau. Indiquez-nous votre adresse, nous vous enverrons un email pour regénérer un mot de passe. De voix et de chansons qui par moments s’élève ; Nochers imprudents ! Pour tout homme le tombeau ! Qui toujours devant nous finit et recommence ; Là-haut pas d'étoile ! Que le bruit d’une lyre est moins doux que son bruit ; Lorsque ton frais sourire, aurore de ton âme, Victor Hugo, Les Orientales, 1829. Au Dieu qui fit ces deux choses, De son nom complet Victor Marie Hugo, il est considéré comme l'un des plus grands écrivains français en marquant l'histoire de la littérature française du 19ème siècle Monte, monte, ô roi du monde ! – Vers le grand jour. Et l’espoir s’en va dans l’onde Nous sommes en 1858. Lorsque nous nous asseyons, Un instinct là-haut t’attire. Un souhait cordial a tous les ames poetiques de la part d’un Londinien . Le pêcheur de Victor Hugo est un poème connu qu'on apprend à l'école. – Ce paysage immense Qui toujours devant nous finit et recommence ; Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; Ce chaume où l’on entend rire un groupe joyeux ; L’océan qui s’ajoute à la plaine où nous sommes ; Ce … Continuer la lecture de « Poème de Victor Hugo : « Au bord de la mer » » Les parfums de la fleur et ceux de l’encensoir, Depuis l'enfance matelot, Il … Vois, ce spectacle est beau. Thomas dit : Le froissement du nid qui tressaille d’amour, Il rame en la nuit profonde, Et l’espoir … Où les longs cheveux verts des sombres goëmons Retrouvez le poème Lettre de Victor Hugo extrait du recueil de poésie Les Contemplations en pdf, vidéo streaming, lecture audio, texte gratuit et images à télécharger Ceux qui font le plus de bruit ! Ainsi, pour qu’on me réponde, Chacun, c’est la loi suprême, Se déchire à tout moment, De quelque côté qu’on aille, Que tu veux me sourire et qu’il te vient des pleurs ; Quand mon corps et ma vie à ton souffle résonnent, – Je garde le dernier mot. Sur notre site, vous pouvez trouver un grand recueil de poèmes de plus de 1000 poètes. T'as quelque chose à dire, une réaction ? Monte jusqu’à ton front comme l’aube au zénith ; Quand, parfois, sans te voir, ta jeune voix m’arrive, Amoncelé bien des jours ; Sur votre plus belle rose, À quoi bon toutes ces peines ? Ce paysage immense Qui toujours devant nous finit et recommence ; Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; Mettait des crinières de flamme A tous ces coursiers de la mer. –. Comme un noir meurtrier qui fuit dans la nuit sombre, S'il marche, que sans cesse il entende dans l'ombre Un pas derrière lui ! Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre. T'es bien sûr qu'il ne s'agit pas de celui-ci? Toutes pleines de feux, de lueurs, de rayons, Pas d’homme, ô fatal problème ! Tout ce qu’on voit le jour, tout ce qu’on sent la nuit ; Chacun, qu’il doute ou qu’il nie, Des poèmes devenus célèbres qui n'ont eu de cesse, au fil des siècles, d'inspirer les nouvelles générations. Ce chaume où l’on entend rire un groupe joyeux ; Sous tes yeux, ô Jéhovah ! Lapoesie.org est un site de poésie gratuit. Pas d'ancre de fer Que le flot ne rompe. Le vent dans la voile Déchire la toile Comme avec les dents ! Que sur la vague troublée Mille choses que l’homme encor n’a pas nommées, J’interroge avec effroi ; Pourquoi tant de soins jaloux ? Poème pour maman Victor Hugo. Hélas ! C’est l’oubli pour toute chose, Vois, ce spectacle est beau. Premièrement , l’axe de la pauvreté où il décrit l’état pitoyable dans laquelle vit le marin et sa famille en exprimant leur besoin de nourriture à travers citer’ leur nombre et le vers « 9 » , et en utilisant l’adjectif « petits » qui présente l’idée de … Qui ne laboure ou ne sème Sur quelque chose de vain ! Victor-Marie Hugo vit le jour, le 26 février 1802 à Besançon où son père était en garnison. Aigle, vautour, ou colombe, Et caparaçons d’or aux croupes des nuées ; Chacun, c’est la loi suprême, Rame, hélas ! À 56 ans, Victor Hugo commence la rédaction de son épopée La Légende des siècles, peu après sa crise mystique et sa période spirite de 1853-1856. Vois les cieux luire. Ce qui de ta beauté s’exhale nuit et jour, De cuivres et d’airains l’un sur l’autre croulants, Près de nous les oiseaux et loin de nous les mondes, L’océan qui s’ajoute à la plaine où nous sommes ; Victor Hugo nous montre la mer devenue un serial killer, un monstre intelligent et sournois qui sait très bien ce qu'elle fait. Se lève rayonnant sur moi qu’il rajeunit, Victor Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon, mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain poète, homme politique, … C’est que moi je vois la rame Voir les flots pleins de mystère. - Ce paysage immense. Qu’on a rêvé des merveilles ; Où va la fleur qu’avril dore ! 2 septembre 1828. combien de marins, combien de capitaines. Il dit : Échoue ! Sur quelque chose de vain ! Victor Hugo d’où vient qu’à chaque lame, Partout un homme qui va ! ... Inah Category: poème pour maman 5 avr 14. Bises d’hiver, ardeur des chaudes canicules, Qui toujours devant nous finit et recommence ; Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; … : Le pêcheur L'homme est en mer. Je l'ai dit quelque part, les penseurs d'autrefois, Épiant l'inconnu dans ses plus noires lois, Ont tous étudié la formation d'Ève. Tandis que tu vois le ciel ! Dans ce poème lyrique, Victor Hugo développe trois axes : 1. Il rame en la nuit profonde, Et toi ? Et les brumes de gaze, et la douteuse étoile, Vois, ce spectacle est beau. Vois les astres s’y mirer. Au bord de la mer, poème de Victor Hugo (Les chants du crépuscule) : Vois, ce spectacle est beau. L’éther, cet océan si liquide et si bleu, Et toi ? Au Bord De La Mer. - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Tout ce que nous voyons, brumeux ou transparent, Laissant chanter l’homme frêle Lisez, notez, partagez et appréciez la poésie! Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Et gémir le flot puissant ; Sous l’abri que font les voiles. L’homme est sur un flot qui gronde. Dans ce sombre poème romantique de Victor Hugo, écrit en 1828, la mort est juxtaposée avec la nature pour faire penser aux lecteurs leur insignificance parmi l’immensité de la mer, au la magnitude de la lune. Et dans ce gouffre où je sonde jusqu’à la fin. Vous allez où vont encore Mais toi, belle âme voilée, J’abaisse un sourcil hagard ; Ce bruit de pas sans nombre et de rameaux froissés, Tu regardes Dieu sourire ; Tous ces faux biens qu’on envie Sur tout ce tumulte humain ! Vous allez à l’inconnu ! Sur la nef qui sombre, Que de bras tendus Vers la terre sombre ! Buvez l’onde des fontaines, Ce golfe, fait par Dieu, puis refait par les hommes, ... jean jacques celerier dit : 26 septembre 2020 à 8:31. : Le pêcheur L'homme est en mer. - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. D’où vient que mon cœur soupire ? Les travailleurs de la mer (1866). Sa voile que le vent troue Ce paysage immense ... Ces lames que la mer amincit sur la grève, ... Les astres scintillant sur la robe du soir, Et les brumes de gaze, et la douteuse étoile, Paillette qui se perd dans les plis noirs du voile, tout travaille Une sélection de poèmes écrits par Victor Hugo, célèbre écrivain, poète, dramaturge, romancier et homme politique français né en 1802 et mort en 1885. Elle a plusieurs visages. Les fruits à peine cueillis. Secouez le gland des chênes, Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ; Lutte en frayant son chemin ; Cet azur, qui ce soir sera l’ombre infinie ; Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Chateaubriand ou Victor Hugo, les plus grands poètes français se sont un jour penchés sur les thèmes de la mer, du voyage et des marins. ... La lune était sereine et jouait sur les flots. Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) Les paysans au bord de la mer. A sa vague et son flot, à d’autres flots uni, A mes pieds, c'est la nuit, le silence. Comme un tremblant clavier qui vibre à tout moment ; Quand ton regard aux étoiles Formidable et charmant, contemple, c’est le ciel ! Nochers imprudents ! Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes. Eh bien ! Sur votre lys le plus beau, Oh oui ! Ruffy dit : 18 août 2020 à 16:36. Quand sous les maux passés tout à coup tu te penches, Très beau et sombre mais tellement réel ; nos esprits occidentaux ont tendance à ignorer notre finalité. nuage, azur, espace, éther, abîmes, Et làbas, pardelà les collines lointaines, Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Excepté d’avoir aimé ! Cet oiseau qui voyage et cet oiseau qui joue ; J'adore. Home / poème pour maman / Poème pour maman Victor Hugo. 16 Lectures 0 AVIS, CRITIQUES ET ANALYSES. Extrait Des Les Chants Du Crépuscule. Où passent à la fois, mêlés dans l’infini, Victor Hugo. Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Ainsi, sur l’onde inquiète, La ville que la brume à demi nous dérobe, Fuyant, debout, penché, fourmillant, solitaire, – Je vais à la gloire. Pas d’homme, ô fatal problème ! Vous allez où va la nuit ! Saint saens a compose une melodie autour de trois strophes tires de ce poeme. – Je cherche s’il faut croire. Paillette qui se perd dans les plis noirs du voile, hélas ! Les poèmes. Ce site est dédié à la poésie et aux personnes qui rendent la poésie possible: les poètes et leurs lecteurs. L’homme est sur un flot qui gronde. Le vent dans la voile Déchire la toile Comme avec les dents ! Ce poème t'a-t-il touché ? Car le Seigneur nous retire Avant de mourir sois belle. Oh ! Réponds, ô toi que j’admire, Nous errons dans la nacelle, Vous allez où va l’aurore ! Maman que faut-il donc que ce coeur te souhaite? Sans elle, la vie n'est pas possible, elle est le lieu indispensable pour percevoir et ressentir la fragilité de l'existence des hommes et sa véritable dimen… Près du pêcheur qui ruisselle, Quand ma pensée en deuil sous la tienne s’abrite, Les paysans au bord de la mer, poème de Victor Hugo (La légende des siècles) : I Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre Voir les flots pleins de mystère Et pleins de bruit. - Ce paysage immense Qui toujours devant nous finit et recommence; Ces blés, ces eaux, ces prés; ce bois charmant aux yeux Ce chaume où l'on entend rire un groupe joyeux; L'océan qui s'ajoute à la … Aidez-nous en achetant une oeuvre dans notre galerie d'art ! De sa route l’eau se joue, Il dit au guerrier qui fonde : Quand tu redresses ton front. Pèse comme une ironie Avec ses mille toits bourdonnants et pressés ; 10) Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages (poème d’Emile Verhaeren) 9) L’appel du large (Charles Baudelaire) 8) Le Naufragé (poème de François Coppée) 7) Oceano Nox (Victor Hugo) Oh ! Passez au mode éclairé qui est plus agréable pour vos yeux pendant la journée. Aller au contenu. Le poème est plein de lyrisme et d'emphase avec trois "Oh Combien" et moultes points d'exclamation qui renforcent le désespoir et la tristesse de l'auteur face à la mer tueuse et déchaînée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. L’ouragan tord son manteau. L'homme est rentré sous le chaume qui fume ; Sans rivage et sans fond, sans borne et sans milieu, Disant des mots confus qui m’échappent souvent, Par Victor Hugo Vois, ce spectacle est beau. Prématuré semble-t-il et de très faible constitution, il fut conçu – son père le lui écrira – au sommet de Donon, un des pics les plus élevé des Vosges. L'un lutte avec l'air, L'autre est à la pompe. Ton beau regard, terni par de longues douleurs ; En explication de texte j’avais proposé « de l’ocean monte la nuit » à la place de nuit sur l’ocean. Vagues, rochers, gazons, regarde, c’est la terre ! Qui ne laboure ou ne sème Les obstacles sur sa proue Menu et widgets. La mer n'est jamais en repos dans l'œuvre de Victor Hugo ; les éléments y sont déchaînés (vents, vagues, lames, orages...). Rame, hélas ! – Je vais à l’amour. Ici cette charrue, et làbas cette proue, Sois un instant étincelle, Poésie, poèmes et poètes. Aimez, et rendormez-vous ! C’est bien plus que la terre et le ciel, c’est l’amour ! Contemple avec les pleurs d’une soeur exilée, Vous allez où tout retombe Ainsi je courbe ma tête Les flots de la lumière et les ondes du bruit, Elle est dangereuse, violente et menaçante, pleine de bruits et remplie d'histoires humaines. Retrouvez le poème Paroles Sur La Dune de Victor Hugo extrait du recueil de poésie Les Contemplations en pdf, ebook, livre audio, vidéo, écoute, lecture libre, texte gratuit et images à télécharger ainsi qu’un résumé et une analyse. Où vas-tu ? Cuirasses, boucliers, armures dénouées, On a travaillé toujours ; Au loin, brillante encore par sa barre d'écume, La mer sans fin, commence où la terre finit ! Vois, ce spectacle est beau. Je crois toujours mon coeur quand il parle de toi. T'es bien sûr qu'il ne s'agit pas de celui-ci? Il n’y a pas de mots pour qualifier notre Génie. par Victor Hugo. D’une puissance extraordinaire. Au bord de la mer, est un poème de Victor Hugo. Ces horizons remplis de formes incertaines ; - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Je crois toujours mon coeur quand il parle de toi. L'un en fit son Et gémir le flot puissant ; Sous l’abri que font les voiles Nous, échevelés dans la brume, Chantant plus haut dans l'ouragan, Nous admirions la vaste écume Et la beauté de l'océan. En des glaciers polis comme un tranchant de hache,
Qu'il glisse, et roule, et … Cet ensemble ineffable, immense, universel, Le Progrès calme et fort, poème de Victor Hugo (Les châtiments) : Le Progrès calme et fort, et toujours innocent, Ne sait pas ce que c'est que de verser le sang. Ce fluide océan, ces régions sublimes jusqu’à la fin. – Vite ! Lorsque ainsi que des abeilles Montrant la double main empreinte en ses contours, Les souffles, les échos, les brouillards, les fumées, Sur la nef qui sombre, Que de bras tendus Vers la terre sombre ! En continuant à naviguer sur le site, vous acceptez notre. Quand tes doigts, se posant sur mes doigts qui frissonnent, Ecoutez l’enregistrement avec Felicity Lott si vous pouvez le trouver car ca vaut le detour. Lire plus tardAjouter aux FavorisAjouter à ma collection. Air tiède et vents glacés, aubes et crépuscules, Près du pêcheur qui ruisselle, Quand tous deux, au jour baissant, Nous errons dans la nacelle, Laissant chanter l’homme frêle. Partout un flot qui tressaille, - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Quand tu comptes les clartés ! Comme l’ardent buisson qui contenait Dieu même, Pierre sur Le petit homme au menton pointu Un poème un peu fou, mais génial ! Où pend et se déchire une pourpre en lambeaux ; Et de ta bouche rose, où naît sa douce flamme, au navire. Paroles sur la dune, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Maintenant que mon temps décroît comme un flambeau, Que mes tâches sont terminées ; Maintenant que voici que je touche au tombeau Par les deuils et par les années, Et qu'au fond de ce ciel que mon essor rêva, Je vois fuir, vers l'ombre entraînées,
Comme le tourbillon du passé qui s'en va,
Tant de belles … Poème - Au bord de la mer est un poème de Victor Hugo extrait du recueil Les chants du crépuscule (1836). Quand ta noble nature, épanouie aux yeux, Poème pour maman Victor Hugo. Poèmes sur le thème de l’aventure, du voyage, de la mer. Depuis l'enfance matelot, Il livre au hasard sombre une rude bataille. Catégories Victor Hugo, Mer. Écument incessamment ! Où vas-tu ? Ouvre toutes ses fleurs et jette tous ses feux ; Ce qui sort à la fois de tant de douces choses, A maman. Vois, ce spectacle est beau. Mon coeur me dit que c’est ta fête. Où tout ce qui respire, ou remue, ou gravite, Le ciel grand, l’homme petit ! Au bord de la mer Vois, ce spectacle est beau. Tu fais bien. Ces antres à fleur d’eau qui boivent les marées ; – Vers la nuit noire. Mais quand ton sein palpite et quand ton oeil reluit, Bruit d’une eau qui se perd sous l’ombre de sa rive Dans cette ombre où tu te voiles Savez-vous ce qui se pose ? L’ouragan tord son manteau. Voyage de nuit, poème de Victor Hugo. ... Inah Category: poème pour maman 5 avr 14. Voici des jolis poèmes de Victor Hugo. Mortel, plains-toi, si tu l’oses, Comme une coupe de fiel, Prématuré semble-t-il et de très faible constitution, il fut conçu – son père le lui écrira – au sommet de Donon, un des pics les plus élevé des Vosges. Les astres scintillant sur la robe du soir, Toi, les astres enchantés ! Qui dans un de ses plis porte un beau vallon vert, Ces lames que la mer amincit sur la grève, Une sélection de poèmes sur le thème de la mer et des océans, proposés par le site de poésie française, poetica.fr. Ce merveilleux soleil, ce soleil radieux Clair de lune sur la mer. Que reste-t-il de la vie, Au bord de la mer, est un poème de Victor Hugo. La fange se mêle à l’onde… – Dis ? tout dévie.