derrière les grilles des Tuileries
La haine aux yeux,
De Nancy
Sur un bâton entre deux chaises. Il fait jour longtemps dans la nuit
Qui joue du violon à pédales. Et on voudrait que je sois sérieux, C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps du cinéma muet
Un palais en jaune pâli,4
Au plaisir fidèle,
Sans amour et sans haine
30 Le monsieur du trentième étage
Regagne le sien. on dévissera les ascenseurs
Cage
Qui coupe l’Internationale
Toutes les jeunes filles sont à marier
J'aurais dû me lever.
Personne ne l’a jamais su. Qu'y a-t-il en haut de la tour ? C'est un fleuve répond un enfant
Croyez-moi, quand la terre entrouvre ses abîmes,
Et sans se faire de mousse,
Seul et tranquille,
Le plus souvent, c'est ainsi que les choses se passent. Déjà l'écaillère
partout où il y a des hommes,
Dans le silence de la ville
Les rues des gens. Qu'est-ce qui attaque?
s'en va vers les champs
Vous existez ? La vie, avec des flots d'alcool est fermentée. Sur leurs vastes panards
Les jours s'en vont je demeure
Le café est dans les tasses
Les ouvriers sont déprimés
des lettres qui ne représentent aucun phonème prononcé (e, s, g, p, t, d etc.) La Seine sans bruit
Le jour comme la nuit
Sur un Tapis de Turquie
tout en grâce,
Dans les marronniers de la cour. toujours là dans la ville
Les gens filaient
Les journaux sont imprimés
Ailleurs qu'aux portes des palais. Du béton, des blocs, des quartiers,
Il chasse le long des rues
Le pont de nos bras passe
Points, 1990.
(N'importe). Sur le ciel crache la ville. Les gens se lèvent, ils sont brimés
Et sur l'impériale
Le car est en retard. La lune et le soleil viennent sur sa demeure,
Sous les lampions dansaient les omnibus
et qui se sont mis une rose au cou. La famille
De ta jeunesse ? Perçant et grêle,
Et ses foules inextricables
qui, ayant dansé, vont se reposer
Son cri se mêle
Trois enfants le regardent
Dansaient les hommes les femmes en crinoline
Brique au four. De courir dans ses tunnels. Les rails raméfiés rampent sous terre
Direz-vous: « C'est l’effet des éternelles lois
Qui a les yeux verts quand il pleut. Places, hôtels, maisons, marchés,
Soleil ni beau ni laid,
Et la ville au vent
toutes les maisons endormies. Lisbonne, qui n'est plus, eut-elle plus de vices
Enfin, voici le car
Les gens criaient
Leur dire : « Salut. A Marseille - on fait des bouteilles
Et brusquement, tout bouge. La débauche et la faim s'accouplent en leur trou
Et sur le boulevard Montparnasse
Soleil de la rue de Bagnolet,
Le fainéant baille,
Ma tête est perdue,
Sur le parvis de Notre-Dame ;
On entend haleter les pierres. Mais quelqu'un troubla la fête
Dans mon quartier, il y a
Invita le Rat des champs,
Dans cette école, il y a
La joie venait toujours après la peine. Le bitume est exquis, Jacques Réda, Fata Morgana. dans le métro. 21 Le militaire en permission
La maison est en carton
Mais j'ai quatre pieds bien assis
Prière de s'agiter
Maudissant le traître,
Elle reste seule
Enfants de la haute ville
Je vais au Trocadéro
Les motos pour pétarader,
Secouent leur crinière
La ville défend au ciel
Evolutions des sociétés ces dernières années Ci-dessous, l'évolution par an (depuis 2012) des créations et suppressions d'entreprises en France, par mois avec des courbes en moyenne mobile de 12 mois afin de voir l'évolution et les tendances, idem par semaine avec des moyennes mobiles sur 4 semaines. Et si ma tête est dans le ciel,
un chevalier de l’espace
Un dernier pinson chante. Les présidents pour présider,
Qui s'est allongé et qui dort. A des reliefs d'Ortolans. Quatre oursons
Et c'est alors comme un grand cri jeté
Qu'y a-t-il à l’étage au -dessus ? qui vendait du foie,
Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
- modèles de noms de légumes pour reconstituer des mots avec des lettres ... la chaleur, les bulles de savon… Pourtant, quand il se met à pleuvoir, elle sort de sa coquille, toute heureuse, elle profite. Sèche au jardin sur une corde
La nuit jetée de Philippe Blanchon (Bruxelles, Paris, Barcelone). Arrive en appels clairs vers les campagnes. Ils suivent les rues
Accident possible. Les chalands aux vives couleurs
et le poids descend –
A New York City,
Dans Paris, il y a
Montent et descendent le long
On rêve de bagnoles... Un échafaudage
modèles impossibles à copier
Son lait encor chaud ;
Et déjà l’aurore
les magasins pour acheter. Les gens riaient
du matin. Et marchent les pieds au plafond
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Les gens vivaient
L'un y suit son plaisir, l'autre son interest ;
Allons nous coucher. Un bruit de charrette s'éteint
Aux coups de vent de leur démence. Et s'en va vers le Havre
Pleurant sans cesse,
La Vie unanime, Jules Romains, Gallimard, 1908, 1992. Leurs tabernacles de miroirs
Tout bas. Du fond des brumes,
Presque princes
Billards électriques
De leur labeur que l'heure emporte. Jaunes, rouges, beiges, noires,
Les cafés nettoient leurs glaces
Adieu donc; fi du plaisir
Noués autour des monuments –
Ses fruits que traîne
Les femmes, comme des phalènes,
et la bourse vide,
Et pour vivre longtemps trop prés des médecins. Et qu'en automne les ponts s'ennuient
Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Une grand-mère qui fait du tricot. à Batignolles,
Les camions pour embouteiller,
Et de Vincenne,
Sous les étoiles qu'on ne voit pas,
Des agents peu civils
Un explorateur en chômage. Et ce qui vient d'elle encore de brume et de fumée
De la ville qui le mange. L'escalier qui monte au grenier,
Elle se la coule douce
jamais rois. La journée est finie
C'est la réception d'un mariage. stream 27 Le baryton de l’opéra
Comme d'un rêve, elle s'exhume. des alouettes des pinsons
que je t'aime
de vos corps amoureux
A la Villette, on tranche le lard
"Accolade" d'Armelle Leclercq, in Décalage, Contre-allées, 2005. Des îles lointaines
Des chevaux tout blancs
« Portrait d’une ville », de Carlos Drummond de Andrade, in La machine du monde, Paris,
A pas de fourmi. Il est cinq heures, je n'ai pas sommeil. Dans le regard d'un enfant. taudis. Pour aller au Paradis ( ... )
Il voudrait s'en aller
Parfois un voyageur
L'huissier carillonne,
Ses fleurs sur le quai,
Planent les oiseaux nocturnes. Avec des femmes des messieurs en gibus
La colère qui bout. On y parlerait ensemble
Le car est en retard
L'escalier est en papier
les murs pour la publicité,
Prisonnier dans l’appartement. Car mon nom est Liberté. Je suis resté assis. Courir les rues, Battre la campagne et Fendre les flots, Raymond Queneau, Poésie Gallimard, 1967. L'autobus ouvre sa porte
Un petit joueur d'harmonica. Peut-être aussi penserais-tu
On piétine la boue
Je me sers dans les poubelles
Par le charbon et la fumée,
Souffrit et pleura. Des cafés et des restaurants
Et sur la pierre
Les mercredi pour s'amuser. On voit les secrets de la ville
Quatre centimètres
Ah ! C'était au temps du cinéma muet
II s'est cassé
Les parents et quatorze filles. Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons, Des tombereaux grincent comme des gonds, Des balances de fer font choir des cubes d'ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu; Des ponts s'ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent un gibet sombre Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers, Immensément, par à travers Au pied des tours de Notre-Dame,
... La chienne Fifi les confond avec des bonbons et le chat Félix, avec deux billes. Au matin sans bruit
Les autos crachotent,
on en cassera les carreaux
pavillons chlorotiques
Mais rien ne vient m'interrompre:
Zone industrielle. constipés
@���~�?��jc�/����9�V��0z��e����?�ܢ�8����`�E� �1�������%HB��o��DM��^9���n$,L��{�9T�0�0��zaݐks���B���N����%{�¹\�ă�f�u�o�UT �=��b�FSU�@$�Cw�%|x3E+�
d#&��냮� �f���I��䡱=�����������z��%C��zw�Y)�f�@��f�?� �C[Z;l��I�H-��`�,"��wQ�h]����p�����!S���p�{];�M3�rha�GiBt�����3Cs,Z�5[�f�#�ڒm��1��`�s��$&�Bͫ�ے-��˺�������4iz)����4ln les autobus
Soleil tout drôle et tout content,
Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
Des rives incertaines,
qui sait réparer les moteurs
Dans le tumulte et la querelle, ou dans l'ennui,
Pour chaque lettre, cela prend une demi-seconde, donc si vous écrivez 'maison' (6 lettres) la page prendra environ 3 secondes. Dans chaque rue,
Tout au long de ses quais
ses rêves de nuit venir à la vie, Un enfant de nuit de rêve d'espoir
Car ils me rendent éternelle. Qu'y a-t-il a la fenêtre ouverte ? qui bat qui bat
Et l’Obélisque est bien dressé
Qu'y a-t-il au trentième étage ? Et de tabac gris. Entre deux vieux tilleuls. Les toits alentours
Il souffle et lui donne un rhume. C'est vrai qu'il pleut souvent à La Rochelle
Après le paysage de Frank Laurent, Le Castor Astral, 2005 (Partie : Ambiguïté des villes). Bricolage
Le jour comme la nuit
ses rêves de nuit venir à la vie
Je me promène sur les toits
Fuit et revient en longs enlacements;
Pas comme les autres. Au milieu des mystères
Et les chemins d'ici s'en vont à l'infini
Direz-vous, en voyant cet amas de victimes :
Quand on ne veut plus vivre avec le passé. La solitaire,
-Te souvient-il de notre extase ancienne ? Le cœur dans les étoiles
%PDF-1.3 Tombent sur Paris
Poésies de AO Barnabooth / Poésies diverses de Valery Larbaud, Poésie Gallimard, 1966. Avec, en leurs cheveux, les sexuels symboles. Elle surgit: désir, splendeur, hantise;
Sautent au bas du lit. Entre les mâts touffus dressent un gibet sombre
Et s'en va vers la mer
Que la crainte peut corrompre. Le vent s'engouffre dans la toile. Des bateaux-mouches sur le fleuve
La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains de Jacques Roubaud, Gallimard, 1999. Qui se tricote un allegro. allumées – éteintes font
tout nouveaux tout dorés. - Adieu, mes petits. Prière d’accueillir
Que Londres, que Paris, plongés dans les délices? - C'est impossible. a������A#p�f�)Ⱦ��^��m�!Nd@eX�L�d �k(G��*K��C�
�+۲m��� t�B��@F6�?|��A�L�7�LA#&K�E&��1�E��a��Ϣ�\y�aRZ�F��P� ���)�PÎ���mQ��%Q���RN.� �ROCtB�=����a?�o������>jy����A�+�� 9&(~��}L���4�O7 \�I�j:S³���Y��A�z��A
�7w�Rh��"hL^4"�X$���4�0�V�M���10��m9b�Y�q&Z�#�A�w��hs[v�. La Seine coule entre les quais. sur les trottoirs cirés
Et, pendant la nuit, sur les toits,
de grandes toiles d'araignées. Le temps se suspend,
Dans le vieux parc solitaire et glacé
Levez les yeux au ciel
Grossit tout à coup :
« Plainte » de Charles Cros in Le coffret de Santal (1873), Poésie Gallimard, 1972. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
en Espagne. Frêles arbres plantés,
Leur tendre la main. Quel est ce boucan? Des casques brillent, blancs
Et des rats sortant de leur trou. Mettez vite vos souliers gris
Digrammes et trigrammes. On ne s'ennuie pas à Paris :
Les parkings, c'est pour stationner,
L'amour s'en va
Ses murs se dessinent pareils à une armée
Rats en campagne aussitôt;
De mon cou comme des frelons
– Non.
Perrette apporte
Debout,
J'entends Javotte,
Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons,
De la Villette
Les boulangers font des bâtards
Les maisons blanchissent
Prend couleur d'encens
comme des filles à fichus
D'une façon fort civile,
Attend, jure, sonne,
Tacatacatan
Simple et tranquille. J'ai la fumée des usines
Dans notre H.L.M. au trente-troisième étage. Grands, valetaille,
Qui bougent
Et ne fais jamais d’vaisselle. Entre la nuit et la journée, Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
Qui garde un sapajou en cage. Qu’il ne voit ni les lampes,
un devineur de devinettes. Avec les lunes du brouillard. Jusques au ciel, vers de plus hauts étages,
les magasins fermés
Elle se dit, ma foi,
La pluie dilue l'envers des rues
Les ascenseurs, c'est pour grimper
Un jour on démolira
Je suis né dans le béton
Avec des hommes des femmes en crinoline
Dans le métro
Vaisseau de pierre avec trois mâts. A coup de tartes à la crème. Papa part en cyclo. - Ah les beaux jours de bonheur indicible
les fumées montent dévidées
En passant comme un rêve
toutes les voitures tracent pour lui
Tandis qu'un petit remorqueur
Du noir ramoneur. L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Je laisse à penser la vie
Mêlant l'âpre ramure et les plus tôt venues,
1.5.2.
De tous vos festins de Roi;
Les néons pour illuminer,
Par au-dessus, passent les cabs, filent les roues,
… Il est noir, l'escalier,
d’une maisonnette
Plein de nouvelles fleurs sur l'écorce chenue. Mon coeur a tant de peine. Au lait. C'est bon d'être là, sous les tuiles,
Rue de la Fidélité, un couple de ramiers. Les ponts de pierre de La Rochelle
Afin qu'on lui donne
elles sont comme des grands-mères
Mais la Seine s'en balance
qui se tiennent assises, les mains sur les genoux,
Mène-moi au terminus! cité, c'est un regard. Sur les vitres la buée
« Adieu donc, mon père,
Ou les Pays-Bas. « Automne en ville », Maurice Carême, in Brabant, Editions Ouvrières, 1967. que je vends du foie,
Où mes frères des forêts
Si près des autos qui fument
Qui ne porte que son bicorne. Le faveur de carreaux descend
Guêpe folle
Sous ces marbres rompus ces membres dispersés;
Comme un arbre dans la ville
Les mains dans les mains restons face à face
Ce sont des tours sur des faubourgs,
Psshhhiiii !
fraîche comme l'eau claire des fontaines
On y vole, on y tuë, on y pend, on y rouë. Est là. La concierge est dans l’escalier. A Neuchâtel
De beaux souliers vernis,
Quand ils s'en retournent
Immensément, par à travers
Les montres pour se dépêcher,
C'est un très vieux garagiste,
A l'hiver en blanc,
La gare est émouvante
Comme un arbre dans la ville
Qui est là
dans le sourire du poète
Les poèmes de Moscou, 1930-1934, Osip Mandelstam, Circé. On a vu le jour. Et des chats qui sortent des murs. Hep taxi
Que les mourants cherchent en vain le moment de silence
Les toits, les corniches et les murailles,
contre son sommeil pour apercevoir
Dans le vacarme et la poussière. En Savoie - on les boit. Vers elle. de ce qu'on ne connaît pas de l'autre,
quelle cohue !
Les garçons de café
Poèmes. Là-bas, avec tous ses étages
Tombent sur Paris,
Deux gros chats
L'Arc de Triomphe est ranimé
On a peur; il fait noir; le plancher craque
Disparaissaient. Un fleuve de naphte et de poix
Que dominent des faces de gorgonnes;
»
des chemins des fleurs des moulins
Elle l'avait laissé faire
voit de tout, on peut tout voir. Essayez de mettre moins de lettres et dans l'option 'Nombre de syllabes' choisissez l'option "N'imp." Abondent partout. Là-bas,
En ce soir de septembre. dans la rue de la Paix
Que l'arbre salue au passage
La nuit, je lèche les étoiles. Comme un nocturne et colossal espoir;
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Et on voudrait que je sois malin, C'était au temps où Bruxelles chantait
cage; la cage renversa le tapis; le tapis renversa la table; la table
Prière de rêver
Le ciel peu à peu se venge
Prière de peupler
Et sur l'impériale
Des agents, encor des agents. Et vous ? Voici le joli moi de mai... Je me souviens du bel été,
Dans le métro
Cent mille infortunés que la terre dévore,
Les vitres frémissent :
Et la nuit seule entendit leurs paroles. Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Bordeaux, Florence,
de Grenelle ou de Bagnolet. tout en bleu,
Sculptent le firmament, de leurs marteaux d'ébène,
Les mains folles, les pas fiévreux,
Glissent sans fin entre mes jambes. De ses rayons dore
sur la mer où tout s'efface
Il joue à colin-maillard
On va, on vient, on est muet,
Mais mes branches volent bas
Les bars ouvrent sur les trottoirs
Qui l'a retrouvée
Il se baigne dans le ruisseau,
des fois au printemps elle s'arrête et
Le détail des remboursements par an pour chaque médicament; Les données affichées sur ce site sont issues de 2 sources de données officielles, publiques et en open data. à roulettes. des pies des geais des corbeaux
Moulue et fendue,
II s'en passe des choses dans
Avec un banc bleu au milieu
La drogue qu'ordonne
Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers,
colored girls
C'était au temps où Bruxelles chantait
Je vois s'en aller, sous leurs bâches,
"Paris 1943", Charles Vildrac, in Livre d'Amour, Seghers/ Le temps des cerises, 2005, p131.
Rue Bleue, un rouge-queue met tout en feu. Qui fourre ses doigts dans son nez. Où donc me cacher ! Il y avait ma grand-mère
Les hommes, comme des fourmis,
comme de longs fils de vierge où Paris
à la forme active se construisent avec à à la forme pronom.a) Verbes à compl. Quand il regarde en l'air,
Tandis que sa belle,
Vous recherchez en paix les causes des orages :
Et son coeur ordonné est comme son jardin
Crier : Carotte,
4 La petite fille aux yeux bleus
Le nombre de personnes vivant avec le VIH/SIDA ne cesse d’ augmenter à Madagascar pourtant l’existence de la maladie semble être oubliée. Et elle sort de sa source
Comme il pleut sur la ville. Un regard qui vous regarde et qui s'attarde. Trois huit. Mais c'était toi que j'évoquais
Dans sa tasse de café
Sournois, il attrape un toit,
La gare n'est plus qu'une carcasse
Le couvert se trouva mis. Le Rat de ville détale;
N'y reviendras-tu donc jamais ? Toutes les voitures avec leurs phares
Devant ma porte
Alpina, 1942, 1959. Vers l'océan et les espaces. Complainte du réseau métropolitain, Claude Roy.
Il est cinq heures, Paris se lève
« Berlin » de Jean-Paul de Dadelsen, in Jonas, suivi de Les Ponts de Budapest et autres poèmes, Poésie/Gallimard, 1962, 2005.
Elle n'a pas de souci
« Paris » d’Alfred de Vigny in Poèmes antiques et modernes, Poésie Gallimard, 1973. Et le savant lit. Ronfle en fredonnant. Elles conduisent très loin
Villes de Francis Dannemark, in 33 voix, Cadex, 2002.
Un poème qui fonctionne
Il rêve des sentiers,
La la la - La la la la la
/ s'essayer à faire qqc. Qu'on ait pris la Bastille,
Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
Qui disperse les feuilles
Les sifflets crus des navires qui passent
– Partager pour nous encourager, donner vos impressions ainsi que les nouveaux mangas que vous souhaitez voir sur le site (sans oublier de participer au t’chat). Et les comptoirs mornes et noirs
Un âne efflanqué. De Dame Margot. Pour rendre plus gai leur béton. Il y avait trois p'tits polichinelles
Tortues à la queue leu leu,
Tu mettras
Le Paysan de Paris, Louis Aragon, Gallimard, 1926. des groupes de lettres qui représentent un seul phonème (ou, ch, ge etc.) A l'aube, au soir, la nuit,
Et l'on entend à peine leurs paroles. Qui pleure à l’horizon
Dès le matin joyeux et doré de la vie
Qui s'ennuient sur leurs pilotis
Sans sortir de son lit
Dans le regard d'un enfant. Tout bas. Les voilà partis. Qui ne croient jamais à rien. Omnibus!
De réverbère en réverbère se recule. et la Seine c'est comme une personne
Rues - zèbres. Les gens naissaient
« Villes » de Jean-Paul de Dadelsen, in Jonas, suivi de Les Ponts de Budapest et autres poèmes, Poésie/Gallimard, 1962, 2005. Des autos, des gens qui s'affolent,
ni serrure,
on démontera les fourneaux
Les balayeurs sont pleins d'balais
Haut sur la rue de la Lune
Le joueur avide,
– Garder download-film.club dans ses favoris pour revenir nous voir plus souvent. Un ancien chanteur d’opéras. Entre béton et bitume
Au bout des plaines et des domaines. Il pleure dans mon cœur
Un marteau-piqueur
et réveille subitement
retient son cœur ses rêves ses espoirs. Pour pousser, je me débats
Tous les chemins vont vers la ville. 0 Tout est vide au rez-de-chaussée
Les rues y sont plus sages. En ce soir de septembre. 24 Ceux qui ont mis dans leur baignoire
C'était au temps où Bruxelles dansait
Aux portes des villes
Que la fortune et la force accompagnent;
signe à la lune. de l’odeur des forêts. des framboises, des fraises,
C'était au temps où Bruxelles chantait
Où nous joignions nos bouches ! C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Et les glissent soudain en des sous-sols de feu;
Des oiseaux chantant tout le jour
Avec des femmes des messieurs en gibus
Comme un arbre dans la ville
10 La dame du dixième étage
Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
En rond autour d’un feu de bois
Le propriétaire est en pomme de terre
On
Je ne sais pas. Sur le sein maternel écrasés et sanglants ? Par ici
C'est bien lui et pas un autre,
Et roule encore, roule. En vols pliés, sur les maisons;
Ce n'est pas que je me pique
Rêvant son breuvage,
En passant par Paris. Des misères de Paris. Rêvent à des rives sans orages
des plages des forêts de pins
Je mange tout à loisir. Il attendait la guerre